Le four banal

[message °2]

*Après 5 minutes de marche, Jean de'l'ours arrivait devant le four banal. Il posa le tronc devant et alla derrière le four poser son sac et prendre une scie... Pendant ce temps un homme était arrivé:*

"Ey don!"

*Jean de l'ours se tourna.*

"aaaah mon vieil ami! comment va tu?"

*l'autre homme était un vieil homme au teint pâle, son visage comportait déja maintes rides: c'était la personne qui s'ocupait du four.*

"oh moi, tu sais. Je vais comme le temps! Tu vien nous apporter du bois! En voilà pour une bonne idée."

*Jean Aquiesta et se mis au travail : il se saisit de la scie et coupa le tronc en une dixaine de bûches. Quand il eût finit de faire des rondins, il s'essuya le front. Son ami était partit depuis un petit moment. Il se remis au travail, il coupa chaque bûche en huit morçeau et les rengea en un tas. À la fin de son travail le soleil était déja haut dans le ciel. Il prit les quatre pièce d'argent qui lui était déstinée, reprit sa hache et son sac, rengea la scie et s'en alla au village.*

*Un délicieux fumet s’échappé de la vieille cheminée. Guy se dirigea vers la porte de l’entrée du four banal et n’eu pas besoin de se pencher pour franchire la porte bien que celle ci soit particulièrement petite. Des bûches fraîchement coupée avaient été entreposer à coté du fourneau et le vieillard qui s’occupait du four banal était assis sur une vielle chaise usée, il était en train de tailler un bois avec son long couteau, un beau couteau, avec un manche en bois de chevreuil. Guy s’approcha de lui et dit :*

"Salut mon vieux "

"Vieux, vieux … parle pour toi "

*Guy aimait bien taquiner le vieillard du four banal*

"Revenons à nos moutons, est ce que tu as fini ta fournée ou es ce que je dois encore me taper le discoure des femme dans la salle d’attente ? "

"Mon pauvre, je crois que tu devras supporter les histoire de la vieille Ursule, elle va sûrement te raconter les exploits de son maris, tu sais, le forgeron.

"Appelle-moi quand ta fournée est prête"

*Avant de rentrer dans la pièce, Guy trouva préférable de poser son sac a l’extérieur. Il entra dans la pièce voisine, des chaises plus bancales les unes que les autres se trouvaient autour d’une vieille table en chêne, un cadeau que Jean avait fait au gaillard qui s’occupe du four banal. Les mures étaient en bois et des bougies éclairées la salle. Des tas d’objets traîner sur les étagères, tous des cadeaux que les clients apportaient en remerciement pour le bon pain qu’ils se faisaient fournir, des objets de toutes formes, de tout genre, en passant de la tête de cerf empaillé au tir bouchon en forme de poisson. Sur la table, plusieurs bouteilles ouvertes étaient étalées, deux vieilles dames étaient en pleine discutions autour d’un verre de gamay, un jeune garçon, dont le sourire manquait une ou deux dents, venait chercher le pain pour sa famille. Avec soulagement Guy constata que Ursule n’était pas la. Il s’assit sur une chaise à l’écart des gens et commença à réfléchire ou il pourrait aller enterrer le cadavre, un lieu que personne devraient trouver. Une voix grave le tira de ces pensée*

"Guy !!! Tu t’es endormi ou quoi ! ? "

"Hein ? Moi ? Ah, non. "

"Dis moi a quoi tu pensais ! "

"Je réfléchissais ou je pourrais enterrer le cadavre de la vieille sorcière"

"Encore une pauvre femme qui s’est fait accuser"

"Non cette fois sa avait l’aire vrai d’après ce que le bourreau ma dit"

"Si tu le dis, je te crois. Je crois avoir une idée pour ta cachette, je connais un endroit peut fréquenter mais assez dangereux : Le Creux Du Loup.

"J’ai vécu assez longtemps Sorniot pour savoir que ce lieu est occupé par des loups ! "

"Ecoute Guy je sais que tu es un homme de confiance et courageux. Je vais te confier une pierre qu’un voyageur ma échanger contre un kilo de pain. Si celui-ci disait vrais, quand on serait cet objet dans sa main droite en récitant le "Notre Père " une lumière jaillirais de l’extrémité de la pierre et aveuglerais toutes personnes autour de son possesseur. "

*Le vieillard tendit l’étrange pierre allongée a Guy qui la saisit avec précaution*

"Milles fois merci mon ami, que dieux bénisse ton humble action, tien ces quelques pièce pour le pain "

*Guy lui tendit quelques pièces en argents et pris le pain qui était posé sur la table. Guillaume salua les gens qui se trouvaient dans la pièce, les deux hommes se saluèrent et le croque mort pris le chemin de la Porte. Pris son sac, et partis en direction du Café De La Fontaine. *

*Guy qui passait devant le four fut intrigué par l'édifice. Il n'avait en effet encore jamais vu un tel bâtiment. En ville, on achetait le pain à la boulangerie et personne ne se souciait de savoir d'où il venait. Il s'en approchat etremarqua un vieillard assis sur une pierre.

"Salutation, vieux!"

*Lança Guy d'un ton énergique.*

"hin hin hin hin"

*Ricana le vieux. Guy qui en avait marre des mauvaises rencontres n'y fit pas attention et entra dans le bâtiment. Là étaient entrain de travailler des gens de tous âges, mais surtout des vieux. Le village lui semblait rempli de vieux. Lorsqu'ils s'apperçurent de sa présence, tout le monde s'arrêta de travailler.*

"Qu'est-ce tu fous ici, gamin?"

*Lui beugla un type recouvert de farine*

"Et bien, je visite, c'est tout."

"On aime pas les touristes ici, on en a pas besoin tire toi et laisse travailler les honêtes gens."

*Devant l'air menaçant des gens, Guy préférat sortir. Il commençait à se domander si il avait bien fait de venir s'installer ici. En resortant, le vieux qui avait ricané à son arrivé était toujours là mais il dormait. Dans son sommeil probablement agité, il parlait.

"La sorcière hin hin hin, la sorcière, à mort la sorcière hin hin"

*Guy s'éloignat aussi vite qu'il le put de cet endroit fort peu hospitalier. Ce n'était pas la première personne qui parlat de sorcière, l'ambiance du village était bizard, presque malsaine. Il se mit à envisager un possible retour à la ville, loin de la sorcèlerie qui semblait omniprésente dans ce bled..*

*jean de l'ours arriva au four banal en se demandant toujours qui avait bien pu commetre cette atrocité. Arrivé en haut au fourd il fît comme à son habitude: alla chercher la scie et fit un tas de buche à l'endroit ou était posé l'ancien tas de buche. Puis il entra dans la pièce de dicussion pour demander à cette bonne vieille comère qu'était la mère Ursule. À peine arrivé dans la pièce que le vieu bonhome qui tenaitz le four et la vieille ursule lui demandèrent des explication.Jean s'assit, prit un vers de fendant et leur raconta ce qu'il savait de cette triste histoire.*

"Et bien... Jèspère que ces bandis ne recidivrons pas; Je n'aime pas ça du tout"

*lança l'homme à la fin du récit de jean en lui lancant les sous qui etait la paye du bucherion.*

"Moi non plus"

*Lancèrent Ursule et Jean d'une même voix. Jean la regarda puis le silence retomba dans la salle laissant entendre le bruit de la pluie au dehors. Au bout de cinq minutes qui parurent durer une éternité, Jean cassa le silence pour annoncer au deux vieillards qu'il s'en allait pour le café de la fontaine. *