La cure de l'église

[message numéro 10]

*Aymar referma la fenêtre de sa chambre. Les bruis extérieurs de gens apparemment joyeux, l’avaient réveillé. Le ventre vide, le chasseur de sorcier sortit de sa chambre. Il passa devant celle du prêtre. La porte était entrouverte. L’inquisiteur s’arrêta. Ce n’était pas dans ses habitudes d’écouter aux portes, mais des bruits étranges venaient de l’intérieure.
L’unique lueur éclairant faiblement la pièce se faufilait par l’ouverture de la porte. Aymar ne voyait pas grand-chose. Mais il lui semblait voire une bosse sous la couverture du lit. Le prêtre était sûrement en train de faire une sieste. Il est toujours un peux fatigué le gros curé. Il devait cuver le vin de la sacristie.
Quelque chose d’autre intriguait Aymar. Il ne trouvait pas la provenance des bruits qu’il percevait plus tôt. Mais il les entendait toujours, et ils avaient l’air plus fort. Vraiment une étrange situation. Il n’osait pas pousser plus la porte, de peur de réveiller le gros plein de soupe. Il avança un pat. Le parquet grinça. Tout bien réfléchi se n’était pas le parterre qui avait grincé. Des soupesons germèrent dans son esprit quand quelque chose vint confirmé l’idée général :*

"Oh ouiiii ! Ohhhhh ! "

*Il perçu un bruit ressemblant étrangement à des lattes de lit sortant de leurs boîtiers. Et il vit le matelas s’effondrer. Mais quel dégelasse ce curé ! Il aurait au moins pu fermé la porte quand il s’égayé sur la croupe d’une catin ! Non mais !
L’aire rageur, Aymar claqua fermement la porte et descendit la cage d’escalier en direction de la cuisine.
Il vit juste le croque-mort ressortir de la cure, un cercueil sur le dos. L’homme ne l’avait même pas remarqué.*

Aymar avait finis son déjeuné. Il avait bu légèrement plus de vin que ce qu’il aurait dut. Il n’était pas ivre mort, mais la maladresse dut à l’alcool lui avait fait faire tombé des braises de la cheminé. Il avait tenté de l’éteindre avec une bouteille de prune. La table s’était mis aussitôt à se consumé léché par les flemmes. Paniquer Aymar était sortit dut mieux qu’il pouvait. Le feu ravager la cuisine. Le curé et sa catin n’était toujours pas descendu et le feu allé bientôt réduire en cendre la cure.

*Etendus sur le sol, Aymar vit que des hommes l’avaient tirait hors de danger. Quelqu’un était en train d’essayer d’éteindre l’incendie avec un tonneau vide. L’homme était sans doute encore plus franc caque que lui-même.
Aymar repéra le curé occupé à brailler sur la gueuse. Il devait sans doute croire que c’était elle qui avait mis le feu à la cure. Le curé avait l’habitude d’accuser la première personne qu’il voyait.
Aymar était tout de même rassuré de voire que le prêtre était sain et sauf.
Voyant que l’incendie semblait maîtrisé, Aymar se tourna vers l’homme qui l’avait tiré loin des flemmes. L’homme était plutôt âgé. L’inquisiteur ne l’avait jamais vu. Il l’invita à aller boire un verre aux Beaux Sites en remerciement.*

*Arrivé devant la cure, avec sa charrette et son cheval, il n y avait déja plus aucune personne qui travaillait, par contre le chantier était déja déblayer et les villageois déja sur le mur de l'église buvant un réconfort bien mérité. Jean alla s'assoir avec eux. Il discutat un moment puis s'en alla livrer la deusièm buche au four a pain de la fontaine: et oui le boit s'utilise vite chez eux. Il saluea tout ses copin qui buvait du gamay puis regarda d'un air maudit les autre qui buvait de l'eau. Il traversa la cours de l'église; les oiseaux, les annimaux tous était joyeux mais les gens était triste: Le curé du village était quelqu'un de très bien vu dans le bled. Jean se demandait qui serait présent à l'enterrement:
(S'il y a trop de personne on peut toujours remplir la cours de l'église ; la cure ne prend plus beaucoup de place!)
*Il ne riait même pas à son humour noir que bien des gens maudissait. Il arriva au portail de la coure ou un oiseau s'était posé sur une des boules monumentalt qui fesait office de gargouille (idée ridicule) qu'il pensa!*

*Après avoire minutieusement suivit les rituels de l'enterrement , Guillaume s'en alla d'un pas léger vers le centre du village . Le Croque Mort manqua d'écraser une poule qui caquettait gaiement sur la route * ( C'est surement encore le coup des gamin a Hugette , ils ont surement encore ouvert la porte de la basse coure de chez Suzon , les brigand !! )

*La chaleur de l'atmosphère , presque palpable , lourde et asomante , fatigua très vite le vieillard . Il déscida de s'arreter au Beaux Sites pour écouter les rumeurs . Il gravit les quelques marche qui séparait la rue de la Taverne , puis ouvrit la porte *