L'église

[message numéro 2]

*L’inquisiteur referma la porte de la crypte. Il était tout de même un peut déçus de ne pas avoir pu brûler quelqu’un. Il salua le bourreau qui allait entrer pour enlever son « uniforme de travail ». Aymar vit plus loin un homme transportant un fardeau sur l’épaule. S’approchant plus, il reconnu le croque-mort, Guy de la Mort. Il était rapidement sur le terrain cet homme là. Dès qu’un cadavre était près à être enseveli il accourait comme un vautour sur une carcasse.
Aymar désirait ardemment le rejoindre - le chasseur de sorcière entretenait une bonne relation avec le croque-mort - mais il devait se dépêcher d’aller poster son rapport. Chaque inquisiteur devait détailler ses entretiens avec les accusés et les envoyer à l’évêque de Sion (le rapport pas l’accusé). Les moines utiliseraient les rapport afin d’écrire un livre intitulé « la première chasse au sorcière en Valais » afin que les générations futurs puissent combattre le démon.
L’inquisiteur sortit de la cours de l’église. Il vit, plus loin, Guy entrer dans le Beaux Site. Il le rejoindrait plus tard afin de boire un verre d’Arvine.*

* Guy de la Pipe ayant entendu parler d'un mort se précipita à l'église, espérant que le mort ne le soit pas vraiment pour pouvoir lui donner l'extême onction. Guy arriva appeuré à l'église, en effet, en passant devant une sombre taverne il s'était fait insulter par deux ivrognes et une personne qu'il pensa être le patron car il se tenait (comme il le pouvait) au bar.

Malheureusement, une fois à l'église, il n'y avait plus la moindre trace de mort. Attristé, Guy alla prier quelques heures dans la superbes église.*

*Guy se rendit à l'église pour trouver refuge auprès du Seigneur. Il s'agenouilla sur un banc et se mit à prier. L'église était occupée par quelques vielles bigottes qui priaient pour le bon rétablissement d'un proche malade ou pour la rémission de leurs nombreux péchés. Guy, fatigué par sa journée s'endormit. Son sommeil était peuplé de rêve étranges, ou se bousculaient sorcières, vieillards et inquisiteurs. Il fut réveillé brusquement lorsqu'il tomba de son banc, sur le carlage dur et froid de l'église. Le bruit provoqué par sa chute à vait attiré l'attention des prieurs.*

"Chuuuuuuuuut."

*Très gêné, Guy se releva et sortit. La nuit venait de tomber et le paysage devenait lugubre mais il resta assis un moment sur les marches de l'église pour réfléchire. Il se dit que si on avait tué une sorcière, elle devait être enterré... Il se dirrigea donc vers le cimetière. C'était un endroit fort peu accueillant ou il n'eut probablement jamais mis les pieds s'il n'avait été aussi curieux. Guy passa une bonne demi-heure à faire le tour de toutes les tombes, sans en trouvé une seule qui lui paraisse récente. C'est alors qu'il se souvint que les sorcière n'avait pas le droit d'être enterrées. Se sentant ridicule, Guy quitta le cimetière. Au même moment un gourpe de personnes venait probablement pour fleurir la tombe d'un proche lui passa devant. A son grand étonnement, ces gens n'étaient ni tristes ni même sérieux, ils sourriaient, certains même chantonnaient. Perplexe, Guy s'en alla.*

*Guillaume entra dans le cimetière qui se trouvait à côté de l’église. Il y avait là le même curieux personnage que le croque mort avait vu à la Fontaine. Celui-ci regardait un groupe de gens euphorique au milieu du cimetière. Guillaume alla à la cure, pris sa pelle, et s’engagea entre les tombes, il se dirigea dans un coin sombre du cimetière. Guy sentait qu’il était observer, il sentait le regard pesant de l’étranger. Il commença à creuser un trou d’une profondeur de 3 brochets et une sardine de profondeur et de 3 carpes miroir de large. *
(Mince de mine, j’ai oublier le cercueil !!) *Il retourna à la cure voire si un cercueil ne traîner pas dans un coin. Sur un coup de chance il trouva un vieux cercueil dans la cave de la cure. Il enleva les bouteilles de vin que les prêtres cachaient à l’intérieur. Et il retourna vers le trou qu’il avait creuser. Il mit la vieille femme dedans et jeta le cercueil au fond du trou et le recouvra de terre. * (Ah !!! Mince … je suis vraiment distrait ces temps si. Il faudra bien qu’un prêtre bénisse la tombe !! Sinon l’âme de la femme ne sera pas guidée vers le paradis …) *Il se dirigea vers l’homme aux allures riche qu’il avait croisé à la fontaine et lui demanda s’il n’avait pas vu le curé car il avait un service a lui demander. *

*Voyant de la fumer s’échapper du lieu ou se trouvait la cure Guillaume changea son itinéraire et se précipita au lieu de l’incendie. Il vit plusieurs Fuillerain qui s’affairer à éteindre le brasier avec des vieux seaux en bois. * (Ils on sûrement besoin d’un petit coup de main !!) * Pensa le vieillard. Il prit un sceau, descendu à la fontaine la plus proche, remplit son sceau d’eau, monta en direction de la cure pour verser son sceau mais a mi-chemin il compris pourquoi on avait jeter ce sceau loin, … il était percé. Guillaume jeta le sceau dans le brasier et s’en alla en direction du beau site. *

[message numéro 12]

*Des femmes et des enfants étaient en pleur. Les hommes, eux, étaient en train de fouiller les décombres.
La cure n’était plus. Seul persister à tenir les trois marches qui menaient autrefois à la porte. Des larmes roulèrent sur ses joues. Il avait détruit sa demeure et celle du représentant de Dieu dans la paroisse. Des ruines fumantes, un homme souleva une poutre. L’inquisiteur vit un bras ensanglanter se lever en tremblant vers son sauveur. Ce devait être le bras du curé. Le paysan qui avait enlevé la poutre baissa son crâne vers le curé comme pour écouter une confidence.
… et ce fût finis. Le bras retomba net dans les décombres, comme un tissu lâcher vers le sol.
Aymar marcha dans les ruines fumantes sans se soucier de la chaleur du bois sur ses bottes. Arrivant près du lieu où s’était passé la scène dont il venait d’être témoin, il jeta un coup d’œil vers le sol. Il vit le bras qu’il avait aperçu plus tôt. Le curé était mort. Mort par sa faute… Quelques larmes s’évaporèrent au contact du bois encore chaud. Aymar s’accroupit, murmura une prière et ferma les yeux du défunt.
Les autres hommes qui s’étaient arrêté de chercher dans les ruines venaient encercler le cadavre. Ils s’étaient découverts le crâne en signe de respect. Tous avaient l’air sombre.

Aymar s’était mis à l’écart afin de se remémorer les précédents évènements. Qu’allait-il faire à présent ? Il n’avait plus de demeure et il doutait que les paroissiens – qui ne l’appréciaient déjà pas outre mesure – accepteraient encore de côtoyer l’assassin du prêtre.
L’homme qui avait découvert le cadavre s’approchait de lui. Aymar leva la tête. Que lui voulait-il ?*

"N’aie pas l’air si triste Aymar…
- Comment pourrais-je ne pas l’être apprêt avoir fait le plus grand crime de ces dernières années ?
- Ton crime n’était pas d’avoir tuer le prêtre … mais de ne pas avoir accouru récolter ces dernières paroles.
- Que dis-tu ?
- Les dernières paroles du prêtre t’étaient destinées. Comme tu n’étais pas là, il me les a transmise…
- Qu’a-t-il dit ? Parle !
- Du calme. Je ne dois te les transmettre que lorsque tu seras pardonné. Comme tu n’as pas accourus prêt de lui, le curé te charge, toi, Aymar l’inquisiteur, de lui trouver un successeur. Lorsque ce sera fait, je te transmettrais les mots qui t’étaient destiné.
- Pourquoi pas ici, maintenant ?
- Car les derniers vœux du curé était ainsi.
- … Alors il en sera fait selon sa parole. Je trouverais son successeur. Et ensuite, j’irait te voire pour que tu me parles…"

*Jean passa devant l'église demandant au paysan présent si ils avait besoin d'un coup de main. Mais tous refusait l'aide du bucheron qui , avec remord, s'en alla dans le cimetière.
Il traversait le cimetière tandis qu'une dame pleurait son mari sur sa tombe. Jean la saluea doucement puis continuason chemin. Arrivé au fond du cimetière, il sortit les deux tronc de boulot qu'il posa à terre. Puis s'empara d'un premier tronc, prit son yode, retgarda le tronc et fit une encoche dans le tronc à l aide de son yode. Pendant que son canasson mangeait les fleures d'une tombe discrettement, il prit l'autre tronc le croisa avec le premièr. Il retourna vers sa cherette : tapa sur son cheval quand il vit son activité, puis il se pencha dans la charrette et s'empara de sa hache et d'une dixaine de clous de charpentiers et il s'en retourna au travaille tandis que son cheval recommencait à manger les fleures de la tombe voisine.
Jean clouat les deux troncs ensemble puis ajusta la barre transversale à coup de hache. Il leva la croix et pensa: ( Le croque mort creusera un trouc pour mettre la croix dedans!). Il tourna les talons et s'en retourna frapper son cheval puis rengea son matériel et s'en alla à la cure pour tenter de pouvoir donne un éventuelle coup de main.*