Les rues

Pour traverser la Fontaine

*Guy voulait découvrire son village natale et commença sa visite de Fully par La Fontaine, son centre historique. Il fut enchanté de découvrire les petites ruelles sinueuses qui rasaient les maison, il fut un peut moin enchanté lorsqu'il faillit être écrasé par une charête qui passait là à toute allure. Il n'eu pas le temps de relever le numéro d'immatriculation du cheval et continua, fort surpris par les moeurs agités des indigènes. Il se promena le long des petites ruelles et des "racoucis" tout le jours durant.*

[message numéro 4]

*Dit donc, il était rapide le vieux Guy… A son âge il pourrait pensait à prendre un peut de repos.
Aymar montait la rue de la Fontaine très rapidement. Il salua deux vieilles dames. Elles n’avaient pas l’aire enchantée de voire le chasseur de sorcière. Il pris un raccourci dans une petite ruelle. Des poules étaient occupées à picorer sur le sol.
Une fois en haut de la ruelle, Aymar but une gorgée d’eau à la fontaine, puis il entra dans le village du même nom.

Un homme qu’il n’avait jamais rencontré était occupé à examiner les recoins du village. Etrange homme. On eu dit un prêtre. L’inquisiteur connaissait tout les curés de la région, il conclu donc que s’en était pas un.
Aymar était toujours en quête de Guy de la mort. Ne sachant pas où le trouvé, il alla s’asseoir à une table dans le Café de la Fontaine. Quelqu’un allait sans doute le renseigner.*

[ message 7 ]

*Après avoir passé une bonne heur a réfléchire au café de la fontaine, il prit sa charrète et s en alla pour branson. À la Fontaine il apperçus quelques voyageurs bizarre. Jean Marchait en sifflotant un aire paillard. Arrivé dans une ruele qui descendait vers Vers L' Eglise il aperçu un vieliiard qui fumait la pipe.*

"Ey don "

*dit le vieillar en voyant jean arrivé*

"Adieu comment vas tu ?"

"oh moi tu sais je vais comme le temps!"

"Alors tu va bien! Je te laisse! Jai du boulot"

*Jean saluea le vieillard puis s'en alla vers chataigner.*

*Apres l’avoir caler contre le mure d’une vieille maison , Guillaume jeta un dernier regard a l’inquisiteur pour s’assurer qu’il était bien assis et il remonta au bistro payer les pots cassés et chercher ses affaires. Il alla rechercher son sac et il prit le chemin qui menait vers la forêt. Tout a coup il se rappela que l’inquisiteur lui avait dis que la soit disant sorcière n’en était pas une, donc la vieille femme méritait d’être enterrer au cimetière. Donc il bifurqua et pris le chemin du cimetière, il croisa au passage la vieille Ursule qui allait au four banal, elle essaya de l’aborder mais il refusa en lui expliquant qu’il avait une mission importante et qu’il ne pouvait pas se permettre de bavarder en chemin car cette mission devait être faite rapidement, celle-ci goba le mensonge. Le village était calme mais l’atmosphère était tendue, la mort de la soit disante sorcière devait ce être rependue rapidement, mais tout le monde ignoraient que c’était qu’une pauvre innocente, il fallait désormais dire au villageois que c’était une femme respectable et non une sorcière. Pour ce qui était de transmettre la vraie identité de la femme au villageois c’était simple, il suffisait de dire a Ursule qu’il s’agissait d’une femme honnête et non d’une sorcière et le sur lendemain on pouvait être sur que tout le village était au courrant. Perdu dans ces pensée Guillaume ne remarqua pas tout de suite qu’il se trouvait devant l’église. *

*Mytiq, préparant son spectacle avec beaucoup d'intérets, disposait ses affiches dans toutes les rues où elle avait l'habitude de se promener. Une par-ci, une par-là ! Elle cherchait tous les éventuels paneaux d'affichage et les murs lisses pour pouvoir les coller sans difficulté.*
(la voici pour les curieux)

*Jean montait en direction du four à pain quand entre deux ruelles il vit des pied dépassé d'un tas de caisse à pommes renversée. Jean sauta de sa charette et se dirigea vers l'amas de caisse. Il commença à soulever les caisses etles entassé plus ou moin n'importe comment sur le côté. Quand il eu enlever une des dernière caisse il put voirle visage meurtris du paysan : Jean avait remarque que c'était un paysan car il avit vu sa chemise pleine de terre. On ne pouvait plus reconnaitre le bonhome: son viseag était tailladé tout commeson tors et ses jambes. Jean posa sa hache, traversa la ruelle pour aller chercher une voisineà laquelle il demandad'allé prévenire l'église: mais ils se rapelèrent qu'il n y avait plus aucune autorité reeligieuse à part Aymar , l'inquisiteur. Jean jugea bon de ne pas boulversé cet homme à nouveau. Il lui dit d'allé chercher la garde du village. Il savait que ce n'était pas une bonne idée: ces gens était des bourrins; il était fait pour se battre , pour protéger, pour repousser pour tué, pour etre discret Mais loin d'être formé pour résoudre des énigmes.
Jeantata le pou de l'homme étalé à terre: iIl était encore tiède donc mort dans la nuit ou au plus tard la veille.
Jean retourna une caisse à pomme pour s'assoire dessus en attnadant les gardes arrivent. Il n'osait même pas immaginé quel sorte d'assassins pouvait faire deschose pareilles. Il alla même jusqu'a juré qu'il ne l'acherait jamais sa hache di ds vagabons capable de faire des atrocités pareilles trainait dans les rue de fully.*

* Les soldats arriait en accourant ; il était esoufflés et tenait tous des lance. A dire vrai, il étaient quatre. *

"Ou sont-ils????"

*Jean de l'ours leva les yeux.*

"Si je le savait! *fit-il remarqué* je serait déja à leur poursuite afin de vanger ce pauvre villageois"

"ah..."

*un autre garde s'avança et dit:*

"puisque tu ne sait rien nous ne pouvons pas te garder; ça ne servirait à rien....Va et si tu vois encore quelque chose vien tout de suite nous prévenir! "

"bien *fit Jean le bon. Il regarda chaque garde pui rerit la parole:* Au revoir!"

*Jean montat sur sacharrette et continua son trajet jusqu'au four à pain qui se trouvaitune soixantaine de mètre plus haut.*

[message numéro 18]

*N’aillant vu personne voulant engager la discussion avec lui – il était tout de même l’assassin du curé – Aymar sortit de l’auberge après avoir payé la note. La porte grinça et se ferma derrière son dos. Il pleuvait encore, et le brouillard s’étendait sur tout le coteau. L’ex inquisiteur était content d’être redescendu en plaine, car il n’aurait pas était aisé de se déplacer dans la brume d’Euloz.
D’un pat élancé, les bottes de l’homme éclaboussaient la boue de la route pendant qu’il se dirigeait vers le café du Soleil. Cela faisait longtemps qu’il n’y était plus entré. Il y aurait sans doute peut de monde, vu que la moitié du village était allé voire Mytiq… Mais Aymar espéré toujours rencontré quelqu’un qui pourrait l’aider à trouver le nouveau curé…*

*Jean montait les rue sous la pluie qui donnait au temp un aire encore plus mélancolique. Quand il fut arrivé devant le café de la fontaine il s'écria:*

"Non de dieu!!!!"

*Le café était plein. Jean détestait passé dans les tavernes ou ils y avait pleins de gens et beaucoup de bruit; il ne pouvait pas raconter à tout le monde ses aventures avec l'ours ou bien d'autre encore. Bien que ce n'était pas vraiment le jour à raconter ses exploits Jean refusa d'entrer dans cette taverne bondée de gens soul. Le bûcheron decida, malgrès le mauvais temp de retourné au bled afin d'allerau café de place, au beaux site, au central ou encor au commerce.Apres avoir fait quelques pas en direction du village Jean s'arrêta et se dit:*

(Le café du soleil!!!Voilà un endroit que je n'aiplus fréquenté depuis belle lurette!)

*Une remotivation le prenait: Il se demandait bien ce qu'était devenu cettebonne femme quitenait ce bar, Adèle. Il rebroussa chemin et, maudissant à nouveau la moitié de la fontaine et vers l'église présent au café de la fontaine, monta au café du soleil, bien qu'il pleuvait à présent des cordes.
Arrivé à proximité, il vit que la lumière étaittoujours là: signe que le café était toujours ouvert! Jean s'approcha et arrivant devant la porte, s'essuyant les pied sur le paillasson, il vit l'inquisiteur qui semblait en pleinecuite pleureuse devant un café.*

(ahah Il aura bien ajouter son coup de niôle journalier dedans!)

*Jean avait un sourir intérieure, mais ne parvenait pas à rire comme à son habitude: il étaittrop tournenté par touteles question qui le perturbais.*

*Dehors, dans ces rues étroites, la lumière de la lune ne suffisait pas à éclairer le chemin de la fée mais à chaque coin de rue, un lampadaire brillait faiblement, ce qui permettait de se repérer. La fée repensait alors à cet homme, jamais vu auparavant.

(Que cherchait-il vers La Fontaine ? Ex-inquisiteur … hum, pas très bavard apparemment.)

Toujours dans ses pensées, la fée voletait ici et là, sans vraiment faire attention où elle allait. C’est ainsi qu’elle prit peur. Elle avait été bousculée mais en relevant sa tête, elle vit un énorme œil juste en face de son propre regard. Un cri aigu lui échappa. Elle resta quelques minutes sûrement figer devant lui. Mais elle eut vite compris qu’elle s’était emportait un peu trop profondément dans ses pensées. Elle se recula doucement. Lorsqu’elle eut repris ses esprits, un « je m’excuse, je suis … euh … maladroite. » sortit de sa petite bouche. C’est là qu’elle le reconnu, oui, malgré la faible lueur du lampadaire, elle reconnu cet air mystérieux de l’ex-inquisiteur. Cet instant fut long et l’homme allait filer. Mais, trop curieuse, Mytiq l’arrêta.*

« Je m’excuse, vraiment. Je… pensais. En fait, je vous ai aperçu au café de La Fontaine il y a environ deux heures et je suis certaine de ne jamais vous avoir croisé dans ces lieux depuis que moi-même je m’y promène. J’ai seulement entendu un groupe de personnes parlait avec le serveur et il m’a semblait entendre que vous étiez inquisiteur. Je me demandais également pourquoi vous venez dans ce quartier si ce n’est pour trouver quelque chose ? Encore désolé de vous avoir foncé dessus ! Peut-être je peux vous être utile ? »

*L’ex-inquisiteur paraissait très surpris de cette rencontre un peu … bizarre va-t-on dire.*

[message numéro 21]

*Après avoir rencontré l’illustre Jean de l’ours dont on parle dans les histoires, Aymar se figea nez à nez avec la fée jongleuse Mytiq. Décidément, quelle soirée !*

"Salut, petite fée ! Tu sais que tu peux avoir de la chance ! Si on s’était croisé il y a 1 mois je me serai empresser de te mettre au bûcher…"

*Voyant que pour une première approche ces propos n’étaient pas très amicaux, Aymar s’empressa d’ajouter :*

"… Mais je pense pas que j’aurais eu cœur à faire du mal à une si belle artiste que toi"

*Il s’inclina, avant de se reprendre. Bah oui ! C’est dans les histoires que les hommes s’inclinent devant les belles femmes, pas dans la réalité !*

"Euh excuse moi… Pourrais-je te poser une question ? *avant qu’elle ait acquiescé il demanda :* Pendant ta prestation, n’aurais-tu pas vu quelqu’un, dans le public, qui avait l’air d’être très croyant et proche de Dieu ?"

*Il vit que ces propos étaient confus, alors il expliqua :*

"En fait, je cherche un nouveau curé, pour remplacer le précédent décédé il y a quelques jours. Donc je demande aux gens car je n’ai vraiment pas de pistes… Enfin, si tu comprend se que je veux dire. "

*Aymar avait toujours de la peine à s’exprimer lorsqu’il s’adressait à de jolies femmes, même si elles étaient aussi petite que Mytiq…*

*Mytiq fut étonnée de voir qu’un si grand bonhomme était impressionné devant le si petit être qu’elle pouvait être. Elle réfléchit longtemps à la question qui lui avait été posée avant de répondre. Elle rechercha loin dans sa minuscule tête, mais rien lui vint. Des personnes susceptibles de croire en Dieu, susceptibles de vouloir devenir curé… Franchement, elle ne voyait pas. En plus elle ne connaissait personne excepté les quelques habitués de ce café. Après avoir attendu presque une minute, très vexée de ne pas pouvoir lui apporter de l’aide, elle lui avoua :*

« Ben… je ne croit pas avoir déjà rencontré la personne que vous cherchez, et à vrai dire, cela fait à peine deux mois que je me montre en public et je ne connais donc pas tous les habitants de ce quartier. D’autre part, je ne suis pas spécialiste pour reconnaître un croyant parmi une foule d’une vingtaine de personnes ! Je ne fais pas non plus très attention aux gens qui viennent me voir quand je suis sur scène. Peut-être ai-je tord. Je suis juste en mesure de vous dire que des enfants étaient présents avec leurs parents mais cela ne vous avance pas plus ! Je m’excuse de ne pas vous apprendre de grandes nouvelles. »

*La fée était assez confuse. Elle réfléchit à une solution mais sur le coup n’en trouva point. C’est seulement après une minute qu’une idée lui vint à l’esprit :*

« Attendez ! Il reste peut-être une solution qui pourrait vous arranger ! Vous pourriez me suivre dans mes spectacles, et comme ça, rencontrer des personnes, leur parler. Il y en aura sûrement une qui sera intéressée par votre proposition. En plus, vous me seriez d’une grande utilité, si je peux me permettre, puisque je ne connais pas très bien la région et par votre intermédiaire, je pourrais me produire en spectacle ou me faire connaître tout simplement dans d’autres lieux. Je serais enchantée ! Maintenant, si vous préférez continuer votre chemin seul, je n’y verrais pas d’inconvénients. »

*Mytiq avait parlé à une vitesse très soutenue et l’ex-inquisiteur devait avoir eu du mal à la suivre. Voletant juste au niveau de son regard, la fée commençait à être fatiguée mais la réponse valait d’être entendue. Elle serra les dents et soutient son rythme de battements d’ailes. Si cet homme venait à acquiescer, elle serait la fée la plus charmée qu’il puisse exister. Elle rêvait déjà, à tous les déplacements accompagnée de l’Ex Inquisiteur, et de tous les regards qui se tournaient vers eux à leur passage ! Mais, pas de précipitation, rien n’était fait ! C’est sur ces quelques pensées que Mytiq attendait patiemment la fameuse réponse.*

[message numéro 22]

*Bien au dessus de ces espérances, la réponse de Mytiq enchantât Aymar.*

"Mais bien sur que j’accepte ! Je ne pouvais espéré mieux !"

*Puis il fit une nouvelle révérence qu’il regretta à nouveau aussitôt.*

"Dit moi Mytiq, où et quand nous verrons-nous ? Car à présent je dois m’en aller pour me coucher. "

*Aymar se rappela aussitôt qu’il n’avait plus de chez-lui… Il devait se trouver une nouvelle maison… Rha ! Il avait des tas de choses à faire et le temps lui manquait énormément…
La tête d’Aymar commença à lui tourner. Il ne savait plus se qu’il devait faire. Il était déboussolé.
Trop de chose à faire… Il ne cessait de penser à ça. Si bien qu’il n’entendu pas la réponse de Mytiq quand à sa question…*

"Je suis… heum… déso… désolé… mais… il faut que…. que… je m’en… aie."

*Puis, il fila au pat de course vers la forêt des châtaigniers. Il n’arrivait plus à reprendre le contrôle de son esprit et son crâne bourdonnait énormément.*

*Mytiq fut enchantée de la réponse et pensait déjà au lendemain. Un sourire se découvra, peut-être plus sincère que ceux qu'elle peut échanger durant ces spectacles, plus personnel. Sortir un peu de ce quartier pour voir du monde différent, d'autres caractères, d'autre tempéraments, la faisait rêver avant même de savoir ce que serait la réponse. Une question lui avait été posée mais l'esprit de Mytiq était ailleurs, dans un autre monde, son propre monde qu'elle transforme à sa manière dans sa tête. Son temps de réaction n'avait pourtant pas été très long mais l'ex-inquisiteur était déjà parti. Il s'enfuiait. Ces jambes étant élancées et musclées, la fée aurait eu du mal à le rattrapper après être restée en l'air grace à ses petites ailes. Elle le laissa filer. Il avait l'air contrarié et Mytiq ne voulait pas non plus exagérer en fourant dans sa tête des horaires et des lieux précis presque inutiles. Elle se trouvait tous les jours à la Fontaine et s'il voulait la revoir, il saurait où la retrouver : au bar. Elle se balada encore quelques instants dans les ruelles. Elle aimait bien se retrouver seule avec la lune pour réfléchir.*