La forêt

[Message 1]

*Jean de l'ours était dans la forêt, il restait sur ses gardes: Il n'avait pas vraiment envie de tomber sur un troll des forêt.
Il s'approcha d'un arbre comme un bourreau s'approche de la guiotine, jète un coup d'oeuil derrière lui et envoya un gros coup de hache dans un arbre dont le tronc fesait un brochet de diamètre... Touts les oiseaux qui était dans cet arbre s'envolèrent. Il renvoya trois fois, quatre fois, cinq fois , six fois puis une septième pour accompagner la huitième et l'on endentit un craquement sinistre qui cassa le silence de la forêt: l'arbre était à présent à terre. Le bucheron se retourna pour s'assurer qu'il était seul, puis retourna à son activité qui était , à présent, de couper toute les branches de l'arbre.
Une bonne demi-heur il avait fini son travail: de l'arbre il ne retait qu' un trouc tailladé par endroit. Il entassa les branches coupées, enfonça sa hache dans le tronc et pris le tronc sur son épaule droite puis l'homme robustre s'en alla en aval afin de rejoindre la fontaine et d'amener tout ce bois au four banal afin qu'il ai une nouvelle utilité. Il sifflotait au milieu de la forêt redevenue silencieuse.

Après avoir fait une bonne heure de marche, il arriva à l'orée de la foret, content qu'aucun troll ne s'est mis sur son chemin! Arrivé a l'orée de la forêt, il posa son tronc par terre, s'assit dessus puis pris son sac: un vieux sac dos gris. Il en sortit une bouteille, un couteau du pain et du fromage.Content de son travaille, il but quelque gorgées, mangea une morce de pain fromage et se roposa un moment. Puis il se leva pour continuer son chemin.*

Merde il nous refais le cup de la fin foireusE!

[message numéro 9]

*Un mal de crâne énorme rongeait Aymar. Il n’avait pas rien que mal à la tête à vrai dire. Son corps tout entier n’était que douleur. Il leva la tête. Mais que faisait-il sur le chemin d’Euloz ?
Entre les châtaigniers, il vit que le soleil se pointait à l’est. Le chasseur de sorcière dormait, appuyé à un tronc au sommet de la forêt des de châtaigniers sur le bord du chemin. Les bogues lui faisaient mal aux dos. Pas rien qu’au dos d’ailleurs…
Se levant, il tenta tant, bien que mal, à s’étirer. Le sol lui tournait encore dans la tête, pas beaucoup, mais assez pour lui faire vomir le reste de la soupe de la veille. Quand un aire paillard lui revint en tête « aaaaaaler patron apporte à boire ou je te… » soudain il trébucha sur le sol humide du matin. Humide de la soupe de la veille pouvait-on dire. Aymar repris le chemin de la plaine. Il devait aller faire un petit somme dans ses appartements dans la cure de l’église. Plus tard, il avait une visite chez une sorcière de Charrat. Il n’avait vraiment pas envie d’aller à Charrat. Rien que le nom de ce village lui donnait le tournis. Ou peut être était-ce la niôle de la veille qui lui donnait le tournis. Qui sait ?
Quoi qu’il en fût, le sorcier arriva dans le village de la Fontaine. La vue du café lui rappela de mauvais souvenirs. Son estomac se remua… avant d’éjecté la fin du potage qui mijotait dans son ventre.
Traversant dans de ruelles étroites, Aymar arriva à Vers l’Eglise. Il passant devant le Beaux-sites, où beaucoup buvait déjà l’apérot. Après être entré dans la cure, il s’effondra sur son matelas. *