La forêt

* De loin on entendait des coup de haches contre les tronc de la forêt. Jean de l'ours qui arrivait à l'orée de la forêt après avoir marché dans les vignes eneigées et après avoir grimper par dessus quelques cailloux, entendis ces bruits: il leva les yeux vers la forêt d'ou une centaine d'oiseau fuyait le craquement d'une arbre qui venait d'être abattut : *

( Ah! Je vois que le travail à déja bien commencé! )

* Jean de l'ours, leva sa grosse main et cramponna une branche afin de l' écarter et de pouvoir pénétrer dans la forêt. Quand il eux passé la première branche il se trouva en face d'un picanus à feuille rouge. Les grosse épines du buisson ne fesait pas peur au bucheron! Il saisit son yode qui pendait à sa ceinture , empoigna une des branches mère de l'arbre et abbatit son outils au fond du tronc; il recommenca ce travail à quelque reprise puis, posant ses mains contre ses hanches et bombant le torse, il se dit : *

( ahahahah tu n'aura pas résister longtemps èspèce de vermine!)

* Il regardait l'arbustre coupé et entassé contre un arbre donc le tronc était imposant. Il avança dans la forêt, coupant toutes branches qui lui résistait. Il s'approchait du lieu où les ouvriers s'activait. La neige était de plus en plus molle, les arbres et la verdure reprnait le dessus: le primtemps arrivait; les hirondelles renvenait et les écureuils se révaillaient ainsi que toute sorte d'autre annimaux qui avait hiberné.*

" ATTENTION!!!"

* Jean leva les yeux et vit un arbres mort se rabattre sur lui. Il sauta sur le coté et se roula par terre sur quelques mètres. il se releva puis reprenant sa hache qui était tombé a terre dit: *

" Sale bougre! t'as faillis m'écraser!"

* Une jeune homme aux cheuveux blonds, longs et ondulé rougissait : cela fesait une constrate amusant avec son teint pâle. Il tenait une hache dans le dos et avait l'aire vraiment confus. Ses bras et ses jambes n'était pas plus gros que les avant bras de Jean. *

"Desolé * il rougissait d'avantage* c'est que l'arbre a visser"

*Jean le bon plissa les surcils et s'approcha de la nouvelle souche: en effets on voiyait que les fibres du bois avait tourné pendant le début de la chute.
Jean de l'ours s'approcha du garçon qui fit un pas en arrière en voyant que l'énorme homme s'approchait de lui. Jean posa sa main sur l'épaule du garçon: la main de jean était plus large que l'épaule du garçon.*

"C'est pas grave! C'est ce qu'on apel un accident de travail! T'as juste failli me tuer! Mais comme tu est un apprentis travailleur et ordré je ne t'engueulerait pas: ce genre de chose se produisent sans que l'ont puisse y faire quelque chose: c'est les forces de la nature qui font visser les arbres!"

* Le jeune homme fit un signe positife avec sa tête et tous les bucherons qui étaient là s'en retournèrent au travail. Ils était quatre mais aucun n'était plus robustre que Jean qui travaillait dans la forêt depuis de nombreuses années et qui avait pu obtenir par ce biais un corps solide et fort.*